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Jean-Christian Petitfils

Les grands ministres qui ont fait la France

Les rendez-vous

Dédicaces
23 novembre
Hôtel de Ville
24 novembre
Hôtel de Ville

Rencontres
24 novembre à 17h00
Université Ouverte de Versailles
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Biographie

Jean-Christian Petitfils est un auteur, historien et politologue français. Il fait ses études à la Faculté de droit de Paris, à l’Institut d’études politiques de Paris et à la Sorbonne. Il est docteur en science politique, licencié en droit public et en histoire-géographie, diplômé de Sciences Po et de l’Institut d’administration des entreprises de Paris. Il a reçu de nombreux prix littéraires, notamment le Prix de la biographie de l’Académie française, prix Hugues-Capet, prix Maurice Travers de l’Académie des sciences morales et politiques pour son livre Louis XIV.

 

Les grands ministres qui ont fait la France

Perrin

Comment, de siècle en siècle, de monarchie en république, des personnalités d’exception ont construit l’État et la nation France. 

Parmi ceux qui, durant près d’un millénaire et pour le meilleur, ont marqué de leur empreinte, parfois de leur génie, l’histoire de notre pays, les souverains, les chefs militaires, les écrivains et les artistes occupent généralement le devant de la scène. Or, ceux qui l’ont construite et portée haut ne sont pas toujours reconnus au niveau de leurs mérites, ni même simplement bien connus. Voici donc, pour la première fois rassemblés en une glorieuse galerie, sans du reste en dissimuler les faiblesses ou les échecs, ceux qui ont travaillé avec patience et compétence, audace ou acharnement, au développement et au rayonnement de la France, ces grands ministres qui se sont relayés dans l’antre des souverains. De l’abbé Suger de Saint-Denis, jetant au XIIe siècle les fondements de la royauté française, jusqu’à Georges Pompidou, qui porta le pays à un degré de prospérité inégalé, vingt et une grandes figures, et pas seulement celles qu’on attendrait – Richelieu et Jules Ferry, bien sûr, mais aussi Jacques Cœur et Robert Schuman –, sont ici restituées dans les différents aspects de leur conception et de leur pratique du pouvoir par les meilleurs spécialistes : outre Jean-Christian Petitfils, qui, avec la direction de l’ensemble, s’est chargé d’une présentation lumineuse et de deux contributions, É. Bournazel, P. Josserand, D. Le Fur, J.-F. Solnon, I. Aristide-Hastir, O. Poncet, T. Sarmant, E. Dziembowski, C.-É. Vial, L. Theis, G. Valance, S. Tomei, C. Bellon, S. Brodziak, J.-Y. Le Naour, J.-N. Ducange, J.-P. Rioux, É. Roussel (de l’Institut), S. Guillaume, A. Teyssier.
Une galerie originale et dynamique de portraits dont la succession même donne sens et force à l’accomplissement des destinées nationales. 

La sainte tunique d'Argenteuil

Tallandier

Conservée depuis douze siècles dans l’église d’Argenteuil, proche de Paris, la Sainte Tunique est, avec la Sainte Couronne d’épines de Notre-Dame, le Linceul de Turin et le Suaire d’Oviedo, l’une des reliques les plus sacrées de la Chrétienté.

Elle passe en effet pour être la « tunique sans couture » portée par Jésus-Christ le 3 avril de l’an 33 lors de son procès devant Ponce Pilate et sur le chemin de croix, avant d’être tirée au sort par les soldats romains, puis récupérée par les premiers chrétiens. Longtemps ignorée, moins connue que les autres reliques de la Passion, elle est rarement offerte à la vénération des fidèles. Cependant, une nouvelle ostension exceptionnelle annoncée par le diocèse de Pontoise devrait avoir lieu au printemps 2025.

C’est l’occasion pour cet ouvrage de faire le point sur les origines de cette précieuse relique et les travaux scientifiques qui ont été réalisés depuis plus de 130 ans. Si son histoire à la fois lacunaire, obscure et mouvementée ne nous donne pas de réponse claire sur ses origines, en revanche les recherches scientifiques, particulièrement les plus récentes effectuées avec un appareillage de pointe (études du textile, analyses de la structure du sang trouvé en grande quantité…), nous fournissent un faisceau d’indices tel qu’il est désormais difficile, pour ne pas dire impossible, de douter de son authenticité.